Ecrit par Diego / in comptines légères et perverses pour adultes avertis
21 heures, Pénélope prends sa voiture, comme tous les mercredis. Après quelques kilomètres, elle s’engage sur l’autoroute, roule une dizaine de minutes jusqu’à une aire de repos.
Elle décélère sur la voie qui mène au parking poids lourd et gare sa mini entre deux 38 tonnes.
Elle coupe le contact, jette un œil au miroir de courtoisie, rectifie son rouge à lèvre, puis attends.
Pas longtemps …
Là-bas, les phares d’un des mastodontes viennent de cligner. Elle sort de sa voiture, perchée sur ses 12 cm de talons et, d’une démarche chaloupée qui fait remonter sa micro-jupe sur ses fesses, elle se dirige vers l’appel.
La portière droite de la cabine s’ouvre, elle se hisse sur les marches jusqu’au siège, achevant de dévoiler son cul à la face de monde.
Elle déboutonne son chemisier, libérant les deux globes qu’il peinait à contenir, et sans un mot, attrape la bite qui se présente à elle . Elle la malaxe, la pétrit, l’enserre de ses deux mains pour une branlette endiablée.
Le bonhomme grogne. A genoux sur le siège passager, elle approche sa bouche et gobe le chibre baveux à l’odeur plus très fraiche. Elle le suce, le lèche, le bouffe, tandis que l’autre se raidit sur son siège, prêt à envoyer.
Elle se glisse entre le volant et le siège, et installe le pieux entre ses seins. Elle le fait glisser de la base jusqu’au gland, jusqu’à ce que le sanglier se lâche dans un beuglement rauque et l’inonde d’un foutre gluant qui s’étale de ses seins et son visage.
Elle passe sa langue sur ses lèvres pour gouter ce qui s’y est déposé, et reprend la bite dans sa bouche pour la nettoyer à grand coups de langue.
Son ventre se contracte d’un coup tandis qu’elle inonde sa culotte brutalement.
Elle l’enlève, l’écrase sur la gueule du sanglier encore haletant, attrape quelques kleenex pour essuyer le sperme qui commence à sécher sur ses seins, ajuste ses fringues et ressort du camion.
Un peu plus loin, d’autres phares s’allument.
Ici, elle finira le goret en avalant sa bite et ce qui en sortira. Là, elle frotte son clito contre le dard, qui finira dans sa chatte. Un peu plus loin, elle s’assiéra sur les cuisses poilues et d’une main ferme se le rentrera dans le cul. Plus loin encore elle se pose en levrette, et , appuyée sur la fenêtre ouverte offre ses seins à la vue des bonhommes qui se branlent pendant que le taulier la défonce en haletant.
Elle poursuivra son circuit pendant plus de deux heures, puis, épuisée, engluée de sperme, goutant de tous ses orifices, heureuse, elle réajuste tant bien que mal un hayon informe et maculé qui fut son chemisier, reprend sa voiture et quitte l’aire sous les vivats et les klaxons d’une dizaine de paires de couilles vides.
Elle les salue d’un petit geste de la main, leur envoie un « a mercredi prochain » et rentre chez elle pour s’endormir dans ses draps de soie.
La douche sera pour demain.
Assumée, fière et heureuse, y’a pas à dire, Pénélope est une salope !