Ecrit par Diego in comptines légères et perverses pour adultes avertis
Elise … Ah la belle plante !
Grande, plantureuse sans être grosse, des seins volumineux et fermes, les hanches larges qui contrastent avec sa taille assez fine, les cuisses musclées, un cul magnifique, rebondi, le genre de cul qui attire la fessée …
Depuis qu’elle a reçu ce sms, elle est là plantée derrière la porte de son appartement, vêtue seulement d’une pare de bas noirs retenus par un porte jarretelles, juchée sur ses talons.
« Sois prête à 19 h »
Rien de plus, mais elle sait de quoi il s’agit. Elle sait qu’elle va passer un sale quart d’heure… et elle aime ça.
Qu’à t’il prévu ? Qu’est ce qu’il va lui faire subir cette fois ? Depuis qu’il a instauré cette règle, elle à subi a peu près tout ce qu’on peut imaginer, et pourtant, à chaque fois, il la surprend encore …
La dernière fois, il a débarqué avec un groupe de copains. Cinq en tout. il a fallu qu’elle les serve toute la soirée pendant leur partie de poker. Bière pour l’un, whisky pour l’autre, Gin pour le troisième, etc … chacun sa boisson, des glaçons pour les uns, pas pour les autres, et une punition si elle se trompe, si le briquet n’apparait pas assez vite pour allumer une cigarette, ou si elle renverse une goutte de leur précieux breuvage en apportant les verres. Et avec des talons de 15 cm et les chevilles entravées par une barre courte, elle en a renversé plus d’une fois !
Une claque sur le cul, un pincement de têton, un coup de cravache entre les jambes, c’est selon l’envie et l’imagination de son bourreau.
Ca pique, mais si elle couine, c’est double tarif !!! donc elle encaisse, se mord les lèvres, et trouve du plaisir dans la douleur. Mais pas question de le montrer, sinon, c’est encore plus douloureux … Elle ne doit prendre de plaisir que sur ordre !
Evidemment, elle a du tous les sucer, les avaler, les nettoyer, et la soirée s’est fini en gang bang. Elle n’ a pas été autorisée à jouir … pour son plus grand plaisir !
La semaine précédente, c’est avec un bandeau sur les yeux qu’elle avait du attendre. Quelqu’un est entré, l’a poussée sur le palier et, la chatte à l’air et menottée dans le dos, elle a attendu une bonne demi heure qu’on lui ouvre la porte pour qu’elle puisse rentrer chez elle.
Les pas dans l’escalier s’arrêtaient à chaque fois devant elle. Elle sentait des souffles sur son visage, des mains sur ses seins, des doigts aussi qui l’exploraient avidement.
Peut être des voisins … Elle ne le saura jamais.
Ce soir, jusqu’ou va-t-il l’emmener ? que va-t-il lui faire découvrir ?
Elle attend.
Une voix derrière la porte : Tourne toi !
Elle se retourne, entend la porte qui s’ouvre mais ne voit pas qui entre. Un frisson l’envahit.
Le cuir qui lui cingle les reins l’en sort brutalement … et délicieusement.
Ce n’est pas lui. Elle reconnait sa patte entre mille, et ce n’est pas lui.
La voix pourtant est la sienne.
« Avance ! aux anneaux ! »
Elle sait qu’elle va prendre cher.
Les anneaux sont fixés au mur du salon, à hauteur de ses mains, lorsque ses bras sont tendus vers le haut.
« Tete droite, ne regarde pas ! »
Elle sait que si elle regarde, ça va pleuvoir. Elle passera donc la séance à regarder le mur.
Des mains gantées de latex noir enserrent les siennes et les attachent aux anneaux à l’aide de lanières de cuir .
La barre entre ses chevilles est réglée au plus large, l’obligeant à écarter les jambes dans une position inconfortable, qui offre aussi libre accès à toute la zone de jeu.
Et le fouet la caresse, la chauffe, lui cingle le dos. Il s’arrête et c’est la baguette qui entre en scène sur ses reins, puis sur ses fesses.
Ce coup de main est nouveau, mais elle sent l’expertise de son tourmenteur, la justesse des coups. Sur le fil de la douleur, entre l’insupportable et l’acceptable, avec juste assez de temps entre les coups pour qu’elle s’imprègne des sensations. Son seuil de tolérance monte et le plaisir s’installe. Les coups, l’inconnu, l’autorité, la contrainte, l’emmènent dans un monde où sa conscience se réduit à ses sensations immédiates et extrêmes.
Les coups cessent, un objet se présente entre ses jambes et la pénètre en forçant. C’est la main gantée qu’elle a vue tout à l’heure . Elle est entrée jusqu’au poignet et la fouille maintenant sans pitié.
« jouis » !
Il n’en fallait pas plus. Son bassin se contracte. Elle hurle longuement en modulant, ne s’arrêtant que pour reprendre sa respiration. Ses jambes flageolent, elle ne tient que pas ses poignets attachés, le tiraillement du lien renforce l’orgasme.
Les baguettes s’abattent sur ses fesses avec force. Son Maître est entré en action. Elle hurle encore plus fort, le poing dans son sexe bouge, tourne et se dilate. Elle ne maitrise plus les mouvements de son bassin qui s’enfonce encore plus sur cette main au fond d’elle, l’enserre, la propulse d’avant en arrière, présente sa croupe aux coups et aspire l’avant bras.
Un flot l’innonde. Une liqueur de plaisir qu’elle laisse échapper. Plus rien n’existe que ce poing, la douleur sur son cul et ce liquide entre ses jambes.
Au bord de la pâmoison, elle pend, genoux fléchis au bout de ses propres bras.
« Debout ! »
Pas de répit possible, la voix impérieuse la ramène à son devoir.
Les gants la détachent mais elle sait qu’elle ne doit pas bouger .
« A genoux »
« Retourne toi et remercie » .
Elle s’exécute et s’attend à devoir prendre une queue en bouche , mais c’est une chatte qui se présente …
Les mains gantées appartenaient à une femme, qui est assise sur le somptueux fauteuil qui orne le salon, et attend, jambes écartées, l’hommage d’Elise.
Elle sent une onde de plaisir monter à nouveau en elle alors qu’elle referme ses lèvres sur un clitoris bien gonflé, enfouit sa langue au fond du sexe qui lui est offert, et découvre la saveur sucrée du liquide qui s’en échappe, tandis qu’une main appuie sur sa tête pour l’enfouir encore davantage et que la cravache électrise son entrejambe.
Y a pas de doute, Elise est soumise …