Ecrit par Diego in comptines légères et perverses pour adultes avertis
Jean Philippe est heureux ce matin. Paracerque cet après-midi, c’est labyrinthe, Glory Hole et black-out, comme tous les premiers samedis du mois …
Il va se gaver de queues …
De son côté, Jérémy est heureux ce matin, parce que cet après midi, c’est labyrinthe, Glory Hole et black-out, comme tous les premiers samedis du mois …
Il va se faire pomper comme jamais par l’inconnue à la bouche de velours de la dernière fois …
Jérémy se prépare.
Rasage de bite et de couilles, par respect pour la dame, et nettoyage intime et profond, des fois que l’envie lui reprenne de lui glisser un doigt à l’ultime moment.
C’est que Jérémy a des principes. Faut ce qui faut quand même et quand on va se faire sucer, on y va le cul propre !
Une chemisette, un jean, une paire de baskets … euh non, on n’est pas des gorets non plus. Il vire les baskets et attrape une paire de bottines qui iront très bien sz caler sous le jean.
Jean Philippe se prépare.
Petite douche, toilette intime et profonde, des fois qu’une queue atterrisse au fond de son cul sur un malentendu …
Un caleçon moulant, un jean moulant qui comprime son petit cul, une paire de mocassin et un polo résilles. Ça pourrait donner envie de toucher et peut être de finir emmanché … C’est que Jean Philippe est joueur !
Samantha est heureuse ce matin, parce que cet après midi, c’est labyrinthe, Glory Hole et black-out. Elle va pouvoir manier des bites et balader tous ces types du bout de sa langue.
Samantha se prépare.
La douche. Partout, on ne sait jamais par où ils voudraient pouvoir passer. Le jet d’eau chaude lui met les sens en émoi, bonne mise en condition pour tout à l’heure.
Rasage – « ras le bol de ces poils, tout ça pour se prendre 3 cl de sperme sur la gueule et deux dans la bouche ! ». Mais on ne sait jamais, ça pourrait se passer autrement .
String noir, robe large (plus confortable pour se mettre à genoux) , courte (plus facile à remonter sur le nombril) et fortement décolletée (plus facile pour faire jaillir ses seins). Pas de collants, (de toute façon dès qu’ils approchent leurs pattes ils les filent), pas de soutif, (ça prend trop de temps à enlever). Une paire de talons haut, (ça les excite).
Et voilà tout ce petit monde prêt à se vautrer dans le stupre et la luxure, pour son meilleur épanouissement moral !
Chacun dans son coin prend sa voiture.
Le taulier, Monsieur S (clin d’œil), voit Jean Philippe se faufiler dans l’ombre et se précipiter vers le labyrinthe, coté suceurs (l’accès ne se fait pas par le même couloir).
Il voit également Jérémy. Jérémy à des principes, il salue chacune des personnes présentes d’un signe de tête et d’un sourire réjoui, puis se dirige vers le labyrinthe. Coté sucés.
Il n’a pas vu passer Samantha, mais celle-là à l’art de se glisser dans les moindres recoins sans qu’on la voit. Elle doit déjà être en train de se toucher, cette cochonne …
Jérémy tâtonne dans le labyrinthe, distingue quelques silhouettes sombre. Ce doit être des hommes. Il fait attention à ne pas laisser trainer ses mains, il ne faudrait pas qu’il touche une bite par inadvertance. C’est que voyez-vous, Jérémy à des principes … On ne se touche pas entre hommes.
Il arrive près du mur percé, s’arrête, tends l’oreille. Une respiration étouffée lui indique qu’elle est de l’autre côté.
Il sort sa queue et la place dans l’orifice. Il n’attend pas longtemps, sent une main s’en emparer, puis deux, qui le branlent avec ardeur, et une langue enveloppe son gland. Pris par l’excitation et le mystère, il a failli jouir. Mais il s’est retenu. La bouche s’active maintenant, par des allers et retours long et puissants. Les lèvres serrées montent et descendent tout le long de son manche.
Une main glisse sur ses couilles, qu’elle malaxe sans ménagement, puis un doigt se fraye un chemin entre ses fesses, cherche son trou du cul et le pénétre de toute sa longueur.
Il n’y tient plus et crache son sperme au fond de la gorge de la salope. Elle l’avale goulument, le pompe jusqu’à la dernière goutte en lui massant le trou de balle de l’intérieur et en lui pressant les burnes encore davantage.
Il se ramollit, elle le lèche encore pout tout nettoyer. Il se retire, essuie sa queue avec un bout de kleenex qui trainait par-là, puis se dirige vers le bar.
La prochaine fois, il faudra qu’il négocie, parce qu’il lui giclerait bien sur les seins.
Jean Philippe de son côté, à l’affut, se trouve un peu seul dans son couloir des suceuses. Apparemment, pas beaucoup de concurrence aujourd’hui. Tant mieux, ça lui en fera plus.
Ses yeux se sont habitués à l’obscurité et c’est donc sans difficulté qu’il voit apparaitre la bite dans le trou du mur. Il l’attrape avec vigueur. Elle est bien dressée, épaisse comme il les aime. Celle-là, il se la finirait bien dans le cul.
Il la branle à deux mains, approche sa langue pour titiller le gland, puis l’enfourne dans sa bouche, jusqu’aux amygdales. Il la suce avec fougue, comme s’il voulait la bouffer.
Dans sa tête, une petite voix : « il va pas tenir longtemps celui-là avec ce que je lui prépare »
C’est que Jean Philippe est joueur …
Il saisit les burnes qui pendent sous la bite, les malaxe, les pétrit. De son autre main il enfile un doigt dans le cul de ce salaud, qu’il tortille dans tous les sens et enfonce jusqu’à la palme.
Et il compte dans sa tête : 3, 2, 1 … c’est parti. Un flot de foutre lui inonde la bouche et glisse au fond de sa gorge.
Il boit tout, aspire tout, s’assure qu’il ne reste rien dans le tuyau et sens la bite épuisée qui se ramollit dans sa bouche. La sienne est toute dure. Pourvu qu’un autre rapplique bientôt. Les deux qu’il a vu entrer de l’autre côté lorsqu’il s’est installé, il les branlerait bien en même temps. Jean Philippe est joueur !
Jérémy est posé au bar, seul. Il finit sa bière et se demande s’il ne va pas aller se faire un petit jacuzzi, histoire de finir de se détendre.
La porte s’ouvre, et Samantha entre.
Monsieur S : ben alors ma chérie, tu arrives bien tard !
Samantha, minaudant sur ses hauts talons : j’ai eu un petit souci avec ma voiture, mais me voilà. Tu as du monde aujourd’hui ?
Monsieur S : « Pas beaucoup, Monsieur ici présent, deux couples dans le jacuzzi et un gars qui est venu la semaine dernière, il doit être au labyrinthe .. ». « Deux types aussi qui ont disparu depuis une heure; ils doivent être en train de se faire sucer ».
Y’a pas à dire, Jean Philippe aime la pipe …