Ecrit par Diego, in comptines perverses pour adultes avertis
Annette !
Quelle belle âme cette Annette. Toujours prête à rendre service. Au village, tout le monde l’adore.
Bon, elle a le visage un peu ingrat, les dents un peu de travers, mais qu’est-ce qu’elle est gentille …
Elle travaille pour une vieille dame, un peu bourgeoise. Pas si vieille que ça, mais elle est veuve, donc forcément, pour tout le monde, c’est une vieille !
Elle fait le ménage, la cuisine, et astique tout ce qui doit être astiqué. C’est que Madame est exigeante en ce domaine. Tout doit être bien propre et nettoyé …
Tôt le matin, Annette part faire les courses.
Elle commence par le boulanger, pour prendre son pain. Il l’accueille avec un grand sourire. Et quand il n’y a pas d’autres clients dans la boutique, il l’emmène même visiter son fournil. Et là, dans la chaleur de fin de cuisson des croissants, au milieu de la farine et des œufs, elle lui astique le manche jusqu’à ce qu’il crache quasiment de quoi remplir une tasse à café.
Mais il n’y a pas de tasse, ça part sur le pétrin. Bon, ca passera avec la prochaine cuisson.
Puis c’est au tour de l’épicier. Aujourd’hui ça sera une boîte de thé, quelques légumes, de la limonade, une tablette de chocolat et une bonne prise de queue derrière le comptoir.
L’épicier est bien membré, c’est tout juste si elle arrive à faire le tour de sa bite avec sa main. Mais elle est vigoureuse et se donne tout le mal qu’il faut pour faire plaisir au bonhomme. Elle le branle avec vigueur. Il s’appuie sur le comptoir pour ne pas vaciller lorsqu’elle lui fait sortir du gland un jus épais qui s’étale entre ses mains.
C’est maintenant le boucher, qui lui sert un bel aloyau pour Madame et se fait traire le chibre en grognant comme une des bêtes qu’il débite dans son atelier. Il est un peu long à venir, mais Annette est une experte. Elle fait aller et venir sa main sur le manche, en prenant soin de titiller la base du gland avec son pouce. Elle n’a jamais vu personne résister à ce traitement. Et le voilà qui beugle et explose, son foutre gicle jusque sur le billot. Ça donnera du goût au jambon !
Au tour du crémier ! Là bien sûr, faut faire attention, ne pas mélanger le sperme et le lait, ça le ferait tourner. Annette, quand elle fait quelque chose, elle le fait bien. Pas question de souiller la marchandise !
C’est donc sur le comptoir, loin des produits laitiers, qu’il se fait masser le mandrin. Elle connaît ses ouailles la petite Annette. Elle sait que celui-ci, il faut lui tâter durement le bâton. Jusqu’à lui faire mal. Elle le frotte, le secoue, l’écrase entre ses mains comme si elle voulait casser un œuf, et le voila qui jouit.
Il a l’orgasme discret, quelques petits gémissements de jeune geisha, mais alors quel déluge ! En effet, il valait mieux se tenir loin de la crème.
Et sur le comptoir, ça passera pour des tâches de lait …
Annette commence à avoir les mains qui collent et son tablier ne vaut pas mieux.
Elle passe au lavoir le rincer, et là, sortant de derrière un pilier, ne voit-elle pas une pine qui dépasse ! Annette est curieuse et s’approche, tâte la pine et découvre au bout un pantalon d’uniforme de garde champêtre ! Et dans l’uniforme, le garde champêtre, tout raide et prêt à l’action.
Celui-là, c’est un cochon. Elle le sait bien la pauvrette, parce qu’il lui en a fait des coups pendables ! La dernière fois, il a exigé de gicler dans ses chaussures. Ça glissait chaque fois qu’elle faisait un pas. Elle n’a même pas eu le temps de nettoyer tout ça qu’il fallait faire le repas de Madame. Toute la journée, elle a piétiné dans le foutre ! En plus il en avait craché des seaux ! Avec une petite dose, comme le mari de la voisine, ça sèche vite, mais là, pensez donc, on aurait pu y aller à la louche !
En tout cas, elle s’active sur le dard, le frottant à pleine main. Elle sait qu’avec lui, il faut y aller aussi avec ses pieds. Assise sur le lavoir, elle coince la bite entre ses deux pieds déchaussés et le branle sérieusement, ajoutant sa main gauche sur le gland et sa droite sur les couilles. Elle manque de perdre l’équilibre et de tomber à l’eau tant elle se démène. Elle sent qu’il est prêt, elle va encore en prendre plein les pieds.
Et bien non, cette fois, il se dégage au dernier moment et c’est sur le visage qu’il lui balance tout. Une giclée sur l’œil droit, une sur le nez, une sur la joue gauche, une sur le menton qui déborde jusqu’aux lèvres.
Heureusement, il y a le lavoir. Elle se rince, se rajuste et, se retournant, aperçoit au loin le fier représentant de l’autorité qui pavane son ventre sur la place du village, saluant le maire au passage, une tâche sur l’entrejambe, tellement grosse qu’elle la voit même de la où elle est. Faut croire que quand il s’est rhabillé, il n’avait pas fini !
Le maire à bien vu la tâche, et il a bien vu aussi Annette qui sort du lavoir et lui lance un clin d’œil plein de mots crus. Parlons-en du maire, un bon cochon lui aussi, mais au moins, il ne sent pas la vieille pine musquée du bain de la semaine dernière !! C’est un notable, et ici, les notables se crèment même le mandrin !
Annette se dirige maintenant à pas pressés vers la maison de Madame. Il est l’heure de préparer le déjeuner.
Elle croise le curé, qui aurait bien voulu l’emmener à confesse, mais il devra attendre. Lui, c’est le dimanche après la messe ! Et parfois, le maire et le docteur, qui sont très pieux, s’attardent un peu aussi pour participer à son catéchisme.
Annette s’affaire dans la cuisine. Elle épluche, elle découpe, elle enfourne. Sacrée cuisinière, en plus de ses autres talents.
Pendant que la viande mijote, elle s’assied sur un banc dans la cour, à l’ombre de l’olivier.
Le neveu de Madame, qui passait par là, la rejoint. La trentaine, toujours puceau d’après ce qui se dit.
« Annette, tu as deux minutes ? »
Avec lui, ce n’est pas une façon de parler, c’est vraiment deux minutes, et même deux minutes, c’est sans doute trop espérer !
Sans même se lever, elle déboutonne son pantalon, le descend sur les mollets du gringalet. Elle voit bien qu’il bande dans la poche de son kangourou, mais voilà, elle n’a même pas le temps d’attraper la queue qu’il se met à frétiller, se dandine, et une petite tâche apparait sur le slip.
Comme prévu, moins de deux minutes, et avec de la marge !
Il est temps de servir Madame.
Annette enchaîne les trajets de la cuisine à la salle à manger, rempli ses deux verres de vins liquoreux, qu’elle déguste à petites gorgées, puis lui apporte son café, une petite douceur acquise chez le pâtissier et un doigt de porto servi dans un verre en cristal.
Le pâtissier ne fait pas partie de la chalandise d’Annette. Chez lui, elle va, elle commande, elle paie et s’en va. Il se dit que le pâtissier à d’autres goûts. Sans doute porte t’il la jaquette …Annette n’a jamais vraiment compris pourquoi cette attirance vestimentaire le dispenserait de ses services, mais au moins, chez lui, elle ne se met pas en retard !
Madame est passé au salon, avec son verre de porto, qu’elle pose sur l’accoudoir du large fauteuil qu’elle vient d’investir …
Confortablement installée, elle appelle Annette, remonte sa robe , écarte les jambes.
« Annette, branlez moi ma fille »
Et oui, Annette fait des branlettes !